Réveil aux aurores, sans faire trop de bruit pour ne réveiller personne.
Puis on embarque sur le bateau avec du retard. On prend la mer et au bout de quelques temps, on est très secoués dans le bateau, certains y résisteront plus que d’autres !
Arrivés à Nice, on est bloqué à l’entrée du port car il n’y a pas de place pour nous. Au bout d’une demie-heure on nous appelle pour rejoindre les voitures. Il est 15h, on a une heure de retard.
Il est temps d’aller récupérer Guizmo et TOUTES ses affaires.
Ces premières vacances ensemble étaient superbes et nous voilà repartis pour le boulot mais avec plein de belles images dans la tête.
On quite
l’extrême sud de la Corse pour rejoindre Propriano, notre prochaine étape.
On s’organise un détour par Sartène, toute petite ville où on ne fait que passer.
On se rend à Propriano avant de se rendre compte que la ville n’a rien d’exceptionnel et semble très touristique. On décide donc de ne pas déjeuner ici. Direction
donc Campomoro.
On se trouve à ce moment sur une des plus belles plages qu’on e eu l’occasion de voir pendant ce voyage. On déjeune bien, pour un petit restaurant. En arivant à Campomoro, on est passé devant notre camping.
Alors même si on est en avance, on décide ensuite d’aller récupérer notre bungalow à U Livanti juste un petit peu plus loin. Le bungalow est grand
puisqu’il comporte deux chambres et un douche avec des jets (pas assez puissants pour être efficaces mais c’est sympas).
Après la découverte et l’installation dans ce grand bungalow qui contient 2 chambres, une cuisine, une terrasse et une grande salle de bain, direction la plage pour
la première après-midi de plage.
Une rivière donne sur la plage ce qui glace un peu l’eau. Pour trouver de l’eau à la bonne température il suffit de se jeter à l’eau un peu plus loin ; ce que
fait Aurélien pendant que je me dore la pillule. Puis on dine au bungalow.
Enfin une grasse matinée possible. Mais lever tôt tout de même, allez comprendre !
Je décide de réserver une plongée pour l’après-midi.
Rendez-vous 13h sur la Palombaggia au sud de Porto-Vecchio. On mange donc tôt pour ne pas être en retard. On arrive un peu en avance et après les formalités on s’équipe de nos combinaisons
(5mm + shorty pour Aurélien et 7mm + shorty pour moi car je suis frileuse). Puis on attend que les autres participants arrivent.
On embarque sur le bateau et direction La Vacca. On finit de s’équiper sur le bateau et hop tout le monde à l’eau. Je n’arrive pas à descendre avec mes 6 kilos de plombs ( !) donc
me voilà en train d’en récupérer 2 de plus et la descente se fait tout de même difficilement étant donné qu’on reste entre deux eaux à 2-3 mètres le temps de passer de l’autre côté du rocher.
Et là, magie pendant 50 minutes ! Des poissons partout, des mérous, des baracoudas, un vraie bonne plongée et sans avoir froid.
On remonte sur le bateau et on rentre sur la plage puis au camping. Une bonne douche, une p’tite sieste, de la lecture et hop on dîne avant d’aller se coucher car la plongée ça fatigue tout de
même.
Déjà le dernier jour avant le départ. On prend la route tranquillement direction Ajaccio. On décide de déjeuner à Porticcio, station balnéaire des environs d’Ajaccio. On se trouve un petit restau
en bord de plage. On déjeune tranquillement en extérieur quand le vent se lève et la pluie commence à tomber. A peine le temps de finir en urgence mon dessert, avant que la grosse averse tombe.
On reprend donc la route direction Ajaccio pour y découvrir la ville non sans s’être bien mouillés les pieds.
Premier bon point, Ajaccio n’est pas délabrée comme Bastia. Alors on décide en premier lieu d’aller jusqu’au Sanguinaires, les îles au bout du golfe d’Ajaccio. La vue est sympa mais le
vent est toujours là. La pluie commence à tomber il est temps d’aller se mettre à l’abri dans la ville. On s’y promène, on fait vite le tour du centre ville doté des mêmes boutiques que dans une
ville de même envergure en métropole. La ville vit et c’est aussi une grosse différence par rapport à Bastia, il y a du monde dans les rues, les cafés…
On s’arrête d’ailleurs pour boire un coup avec vue sur le port et ses pêcherus. Puis il est temps de rejoindre Fati pour passer la soirée avec elle, Raph et la petite Eden. On est super bien
reçus dans leur appart avec une magnifique vue sur les Sanguinaires. On mange super bien et puis il est l’heure de se coucher.
Lever 9h car on doit laisser la chambre au plus tard à 10H. On fait un détour par la boulangerie et le camping municipal, celui de mon enfance.
Puis on prend la route direction Corte (Corti en corse) au centre de l’île. Le voyage est un peu dur pour moi, mon estomac a du mal à suivre mais le paysage
est superbe. On arrive à Corte pour déjeuner. On trouve un petit restau qui ne paie pas de mine mais qui ravit nos estomacs (enfin surtout celui d’Aurélien étant donné l’état du mien après ce
voyage).
Puis on prend le temps de se balader dans Corte : on monte au belvédère, puis au musée national de Corte et jour de chance ce sont les journées
du patrimoine donc le musée est gratuit. On se dirige d’abord vers la citadelle du château qui jouxte le musée puis on fait un tour à l’interieur où sont exposés les us et coutumes corses et
l’évolution de ceux-ci au cours du XXème siècle.
On se décide pour un petit gouter avec une crêpe car il ne fait pas très chaud et j’ai déjeuner léger à midi, puis direction A casa Aperta notre lieu de
sommeil. Vive le GPS car la chambre d’hôte est à l’extérieur de la ville.
On arrive, on est très bien reçus par Isabelle, le cadre est super joli, la maison et la chambre aussi. Elle nous conseille un restau L’oliveraie où on
arrive à 20h45 et nous serons les derniers clients de la soirée. Quantité, qualité et prix sont au rendez-vous, une très bonne adresse.
Puis retour à la chambre et là le silence et la nuit noire sont marquants. On passe une bonne nuit même si de temps en temps le chauffe-eau se met en route mais
rien de bien dérangeant.